Populations inégales
Aujourd’hui, seuls 5% des adultes ont une activité physique suffisante pour être protectrice. Selon l’Anses, ce sont les femmes les plus exposées avec 70% d’entre elles qui sont en deçà de tous les niveaux d’activités identifiés pour être en bonne santé, contre seulement 42% d’hommes.
Des risques évitables
Pour pratiquer une activité physique suffisante et réduire la sédentarité, l’initiative personnelle est primordiale. Mais l’Anses souligne l’importance des actions collectives et la création d’un environnement global favorable à l’évolution des comportements pour atteindre des niveaux suffisants à l’échelle individuelle. Les politiques publiques doivent absolument mieux prendre en compte la pratique sportive pour prévenir les risques sanitaires. La mise en œuvre de ces recommandations rencontre des obstacles comme l’urbanisme, l’aménagement du territoire, les modes de transport et l’organisation du temps et des espaces de travail et scolaires.
« C’est l’organisation même de nos modes de vies qui est à revoir : que ce soit dans l’espace public, en laissant davantage de place aux mobilités actives comme le vélo ou la marche, ou sur le lieu de travail, en favorisant la pratique sportive et en limitant les temps de sédentarité… »
PR Irène Margaritis (Cheffe de l’unité d’évaluation des risques liés à la nutrition à l’ANSES)
L’accompagnement de WORK&MOVE®
Le dispositif WORK&MOVE® vise justement à proposer un accompagnement personnalisé et adapté à votre entreprise afin de lutter contre l’inactivité physique et la sédentarité.
Quels intérêts pour les salariés ?
- L’amélioration du bien-être au travail et meilleure gestion du stress
- L’influence bénéfique sur l’esprit d’équipe
- La création d’une dynamique entrepreneuriale et l’amélioration de la productivité des salariés
Quels intérêts pour l’entreprise ?
- 1% à 4% d’amélioration de la rentabilité nette
- +6% à 9% d’amélioration de la productivité par salarié